
Le rhombe est un instrument à vent se servant du frottement de l'air ambiant pour produire un son. Sa sonorité rugissante a été comparée à celle du vent, du tonnerre, aux cris des dieux, des esprits ou des ancêtres intercesseurs entre le monde terrestre et le monde supra naturel.

L'antara est une petite flûte de Pan traditionnelle des Andes datant de plus de deux mille ans et qu'on trouve notamment dans la civilisation Nazca au Pérou.

Le mohoceño, moceño, moxeño, moheño, asu, bordon, contrabajo, jatun aymara ou jatun tukana suivant les régions, est un instrument à vent andin. C'est une flûte à conduit bolivienne trouvée autour du lac Titicaca, et jouée par les Aimaras.

La caja est un instrument de musique à percussion membranophone d’Amérique du Sud. D'origine précolombienne, elle est typique de la musique Quechua.

Le güiro est un instrument de musique de la famille des idiophones, fréquent à Cuba et Porto Rico, constitué d'un racloir percé de trous dans lesquels on passe le pouce et le majeur pour le tenir.

La siyotanka — « le grand coq de bruyère » en langue sioux ou « le bâton qui chante » en langue lakota —, pipigwan (Ojibwés), fi'pa, lhokan, niçude tunga, sul, kahamaxé tahpeno (Cheyennes) et chikhwa (Têtes-Plates) [réf. nécessaire] est une flûte des Indiens des Plaines des États-Unis. C'est une « flûte utilisée pour « faire sa cour » (courtiser). Elle est à double conduit et jouée notamment lors de la cérémonie de la danse du Soleil.

Une chirimía, xirimia, chirisuya et chirituya est un terme espagnol désignant les différents hautbois ou chalémie, qu'ils soient modernes comme ceux désormais trouvés en Espagne, ou traditionnels comme ceux trouvés en Amérique latine et basé sur des instruments introduits pendant la colonisation espagnole à la fin du XVe siècle.

La quena, quéna, ou kena, est un instrument à vent de la famille des bois issu du métissage entre les instruments propres à la civilisation andine et ceux issus de la civilisation occidentale, dont elle reprend l'échelle chromatique. Rattachée au groupe des flûtes andines, la quena est largement utilisée dans la musique sud-américaine et latine, plus particulièrement dans la partie hispanique de l'Amérique du sud.

Les siku, taika, sanga, bordon, toyo, malta, liku, chulli, connus aussi sous le nom espagnol de zampoña, sont des flûtes polycalames andines connues depuis le XVIe siècle. C'est une flûte de pan répandue dans nombre de populations notamment l'ethnie Aimara, les Quechuas, les Chipayas et les Chiriguanos vivant au Chili, au Pérou, en Bolivie, en Argentine et au Paraguay. Mais ils sont avérés du sud du Chili et de l'Argentine au Mexique et plus rarement chez certaines tribus indiennes des USA voire du Canada, et ce depuis parfois 4200 av JC.

Le mohoceño, moceño, moxeño, moheño, asu, bordon, contrabajo, jatun aymara ou jatun tukana suivant les régions, est un instrument à vent andin. C'est une flûte à conduit bolivienne trouvée autour du lac Titicaca, et jouée par les Aimaras.

L'erke est un instrument de musique précolombien de la famille des cuivres. Originaire des Andes, on le trouve dans le nord de l'Argentine et du Chili, et dans le sud de la Bolivie.

La siyotanka — « le grand coq de bruyère » en langue sioux ou « le bâton qui chante » en langue lakota —, pipigwan (Ojibwés), fi'pa, lhokan, niçude tunga, sul, kahamaxé tahpeno (Cheyennes) et chikhwa (Têtes-Plates) [réf. nécessaire] est une flûte des Indiens des Plaines des États-Unis. C'est une « flûte utilisée pour « faire sa cour » (courtiser). Elle est à double conduit et jouée notamment lors de la cérémonie de la danse du Soleil.

Le terme flûte andine sert à désigner différentes formes d'instruments à vent sud-américains qui se retrouvent dans les différentes civilisations de la cordillère des Andes. L'étendue géographique traditionnelle de ces instruments de musique ne se limite toutefois pas à l'espace andin et déborde largement sur l'espace amazonien et sur le bouclier guyanais. Aujourd'hui ils sont largement présents dans la musique latino-américaine et des instruments comme la quena ou encore les flûtes de Pan andines sont largement pratiqués dans l'ensemble des pays du monde. L'ingéniosité des habitants des Andes a fait varier ces modèles au point qu'on en recense au moins 115 types d'instruments différents. Cette impressionnante variété dérivent principalement de quatre modèles :la quena, une flûte à encoche, est la plus emblématique et aujourd'hui jouée dans le monde entier. Bien qu'il subsiste des instruments correspondant à l'échelle pentatonique traditionnelle andine, les quenas modernes sont dans leur très grande majorité des instruments qui ont été modifiés au fil des siècles depuis l'arrivée des conquistadors. La quena a ainsi été adaptée pour correspondre à l'échelle chromatique de la musique occidentale ce qui permet aux quénistes de jouer les œuvres du répertoire classique européen, les œuvres de la musique moderne globalisée et qui explique de fait sa large diffusion hors de sa zone d'origine. La quena n'est toutefois pas un instrument exclusivement d'origine andine. En effet, à côté des quenas traditionnelles andines et de ces quenas chromatiques modernes, on retrouve également des formes locales traditionnelles dans l'ensemble de l'espace amazonien et notamment dans le plateau des Guyanes dont fait partie la Guyane française, sans qu'il soit facile de déterminer l'antériorité et la filiation de l'une ou de l'autre, ou leurs créations indépendantes. C'est le cas par exemple de la flûte appelée kapau yetpë par les Wayanas le long du fleuve Maroni. La flûte à bec, déjà courante à l'époque des Chimus, ce dont témoignent abondamment les vases siffleurs précolombiens. La flûte de Pan, technologiquement sans doute la plus ancienne. Les flûtes traversières des Andes, attestées dès la civilisation de Caral-Supe.

Le güiro est un instrument de musique de la famille des idiophones, fréquent à Cuba et Porto Rico, constitué d'un racloir percé de trous dans lesquels on passe le pouce et le majeur pour le tenir.

Le huehuetl ou huehuete est un instrument de musique précolombien d'Amérique du Sud toujours utilisé au Mexique.

Le rhombe est un instrument à vent se servant du frottement de l'air ambiant pour produire un son. Sa sonorité rugissante a été comparée à celle du vent, du tonnerre, aux cris des dieux, des esprits ou des ancêtres intercesseurs entre le monde terrestre et le monde supra naturel.

Le mohoceño, moceño, moxeño, moheño, asu, bordon, contrabajo, jatun aymara ou jatun tukana suivant les régions, est un instrument à vent andin. C'est une flûte à conduit bolivienne trouvée autour du lac Titicaca, et jouée par les Aimaras.

Le mohoceño, moceño, moxeño, moheño, asu, bordon, contrabajo, jatun aymara ou jatun tukana suivant les régions, est un instrument à vent andin. C'est une flûte à conduit bolivienne trouvée autour du lac Titicaca, et jouée par les Aimaras.

La siyotanka — « le grand coq de bruyère » en langue sioux ou « le bâton qui chante » en langue lakota —, pipigwan (Ojibwés), fi'pa, lhokan, niçude tunga, sul, kahamaxé tahpeno (Cheyennes) et chikhwa (Têtes-Plates) [réf. nécessaire] est une flûte des Indiens des Plaines des États-Unis. C'est une « flûte utilisée pour « faire sa cour » (courtiser). Elle est à double conduit et jouée notamment lors de la cérémonie de la danse du Soleil.

La siyotanka — « le grand coq de bruyère » en langue sioux ou « le bâton qui chante » en langue lakota —, pipigwan (Ojibwés), fi'pa, lhokan, niçude tunga, sul, kahamaxé tahpeno (Cheyennes) et chikhwa (Têtes-Plates) [réf. nécessaire] est une flûte des Indiens des Plaines des États-Unis. C'est une « flûte utilisée pour « faire sa cour » (courtiser). Elle est à double conduit et jouée notamment lors de la cérémonie de la danse du Soleil.

La quena, quéna, ou kena, est un instrument à vent de la famille des bois issu du métissage entre les instruments propres à la civilisation andine et ceux issus de la civilisation occidentale, dont elle reprend l'échelle chromatique. Rattachée au groupe des flûtes andines, la quena est largement utilisée dans la musique sud-américaine et latine, plus particulièrement dans la partie hispanique de l'Amérique du sud.

Les siku, taika, sanga, bordon, toyo, malta, liku, chulli, connus aussi sous le nom espagnol de zampoña, sont des flûtes polycalames andines connues depuis le XVIe siècle. C'est une flûte de pan répandue dans nombre de populations notamment l'ethnie Aimara, les Quechuas, les Chipayas et les Chiriguanos vivant au Chili, au Pérou, en Bolivie, en Argentine et au Paraguay. Mais ils sont avérés du sud du Chili et de l'Argentine au Mexique et plus rarement chez certaines tribus indiennes des USA voire du Canada, et ce depuis parfois 4200 av JC.

Les siku, taika, sanga, bordon, toyo, malta, liku, chulli, connus aussi sous le nom espagnol de zampoña, sont des flûtes polycalames andines connues depuis le XVIe siècle. C'est une flûte de pan répandue dans nombre de populations notamment l'ethnie Aimara, les Quechuas, les Chipayas et les Chiriguanos vivant au Chili, au Pérou, en Bolivie, en Argentine et au Paraguay. Mais ils sont avérés du sud du Chili et de l'Argentine au Mexique et plus rarement chez certaines tribus indiennes des USA voire du Canada, et ce depuis parfois 4200 av JC.

Le mohoceño, moceño, moxeño, moheño, asu, bordon, contrabajo, jatun aymara ou jatun tukana suivant les régions, est un instrument à vent andin. C'est une flûte à conduit bolivienne trouvée autour du lac Titicaca, et jouée par les Aimaras.

La siyotanka — « le grand coq de bruyère » en langue sioux ou « le bâton qui chante » en langue lakota —, pipigwan (Ojibwés), fi'pa, lhokan, niçude tunga, sul, kahamaxé tahpeno (Cheyennes) et chikhwa (Têtes-Plates) [réf. nécessaire] est une flûte des Indiens des Plaines des États-Unis. C'est une « flûte utilisée pour « faire sa cour » (courtiser). Elle est à double conduit et jouée notamment lors de la cérémonie de la danse du Soleil.

Le rhombe est un instrument à vent se servant du frottement de l'air ambiant pour produire un son. Sa sonorité rugissante a été comparée à celle du vent, du tonnerre, aux cris des dieux, des esprits ou des ancêtres intercesseurs entre le monde terrestre et le monde supra naturel.

La quena, quéna, ou kena, est un instrument à vent de la famille des bois issu du métissage entre les instruments propres à la civilisation andine et ceux issus de la civilisation occidentale, dont elle reprend l'échelle chromatique. Rattachée au groupe des flûtes andines, la quena est largement utilisée dans la musique sud-américaine et latine, plus particulièrement dans la partie hispanique de l'Amérique du sud.

Le pìfano, pìfaro (« flûte ») ou pife, est une flûte transversale brésilienne faite de bambou. Le pìfano a des racines historiques controversées. Certains prétendent que les indigènes américains l'ont inventé tandis que d'autres attribuent son origine au temps des premiers chrétiens, qui se seraient servi du pìfaro pour saluer la Vierge Marie. Le pìfano a été ensuite absorbé, adapté à la culture moderne et est devenu un instrument commun utilisé pour animer les fêtes, les événements sacrés et militaires sous le nom de fife.
Le pututu ou pututo est un instrument à vent de la culture andine et amérindienne.

La quena, quéna, ou kena, est un instrument à vent de la famille des bois issu du métissage entre les instruments propres à la civilisation andine et ceux issus de la civilisation occidentale, dont elle reprend l'échelle chromatique. Rattachée au groupe des flûtes andines, la quena est largement utilisée dans la musique sud-américaine et latine, plus particulièrement dans la partie hispanique de l'Amérique du sud.

La quena, quéna, ou kena, est un instrument à vent de la famille des bois issu du métissage entre les instruments propres à la civilisation andine et ceux issus de la civilisation occidentale, dont elle reprend l'échelle chromatique. Rattachée au groupe des flûtes andines, la quena est largement utilisée dans la musique sud-américaine et latine, plus particulièrement dans la partie hispanique de l'Amérique du sud.

Le teponaztli, tinco, teponahuaztli, quiringua, tepenahuasqui, tunkul (Mexique) ou tun est un tambour à fente ancien, d'origine mésoaméricaine, utilisé dans la musique amérindienne par les Aztèques et les Mayas. Il est encore utilisé de nos jours. Le teponagua en est une variété plus grande, et le tecomapiloa en est une petite version à résonateur en gourde. Au Guatemala, il est utilisé dans de nombreuses danses, principalement dans le Rabinal Achí, également connu sous le nom de Xajooj Tun, qui signifie en espagnol "Danse du tun". Il est également utilisé dans la danse du cerf.

Le güiro est un instrument de musique de la famille des idiophones, fréquent à Cuba et Porto Rico, constitué d'un racloir percé de trous dans lesquels on passe le pouce et le majeur pour le tenir.

Le rhombe est un instrument à vent se servant du frottement de l'air ambiant pour produire un son. Sa sonorité rugissante a été comparée à celle du vent, du tonnerre, aux cris des dieux, des esprits ou des ancêtres intercesseurs entre le monde terrestre et le monde supra naturel.

Les siku, taika, sanga, bordon, toyo, malta, liku, chulli, connus aussi sous le nom espagnol de zampoña, sont des flûtes polycalames andines connues depuis le XVIe siècle. C'est une flûte de pan répandue dans nombre de populations notamment l'ethnie Aimara, les Quechuas, les Chipayas et les Chiriguanos vivant au Chili, au Pérou, en Bolivie, en Argentine et au Paraguay. Mais ils sont avérés du sud du Chili et de l'Argentine au Mexique et plus rarement chez certaines tribus indiennes des USA voire du Canada, et ce depuis parfois 4200 av JC.

La siyotanka — « le grand coq de bruyère » en langue sioux ou « le bâton qui chante » en langue lakota —, pipigwan (Ojibwés), fi'pa, lhokan, niçude tunga, sul, kahamaxé tahpeno (Cheyennes) et chikhwa (Têtes-Plates) [réf. nécessaire] est une flûte des Indiens des Plaines des États-Unis. C'est une « flûte utilisée pour « faire sa cour » (courtiser). Elle est à double conduit et jouée notamment lors de la cérémonie de la danse du Soleil.

La siyotanka — « le grand coq de bruyère » en langue sioux ou « le bâton qui chante » en langue lakota —, pipigwan (Ojibwés), fi'pa, lhokan, niçude tunga, sul, kahamaxé tahpeno (Cheyennes) et chikhwa (Têtes-Plates) [réf. nécessaire] est une flûte des Indiens des Plaines des États-Unis. C'est une « flûte utilisée pour « faire sa cour » (courtiser). Elle est à double conduit et jouée notamment lors de la cérémonie de la danse du Soleil.

Les siku, taika, sanga, bordon, toyo, malta, liku, chulli, connus aussi sous le nom espagnol de zampoña, sont des flûtes polycalames andines connues depuis le XVIe siècle. C'est une flûte de pan répandue dans nombre de populations notamment l'ethnie Aimara, les Quechuas, les Chipayas et les Chiriguanos vivant au Chili, au Pérou, en Bolivie, en Argentine et au Paraguay. Mais ils sont avérés du sud du Chili et de l'Argentine au Mexique et plus rarement chez certaines tribus indiennes des USA voire du Canada, et ce depuis parfois 4200 av JC.

Le teponaztli, tinco, teponahuaztli, quiringua, tepenahuasqui, tunkul (Mexique) ou tun est un tambour à fente ancien, d'origine mésoaméricaine, utilisé dans la musique amérindienne par les Aztèques et les Mayas. Il est encore utilisé de nos jours. Le teponagua en est une variété plus grande, et le tecomapiloa en est une petite version à résonateur en gourde. Au Guatemala, il est utilisé dans de nombreuses danses, principalement dans le Rabinal Achí, également connu sous le nom de Xajooj Tun, qui signifie en espagnol "Danse du tun". Il est également utilisé dans la danse du cerf.

Le teponaztli, tinco, teponahuaztli, quiringua, tepenahuasqui, tunkul (Mexique) ou tun est un tambour à fente ancien, d'origine mésoaméricaine, utilisé dans la musique amérindienne par les Aztèques et les Mayas. Il est encore utilisé de nos jours. Le teponagua en est une variété plus grande, et le tecomapiloa en est une petite version à résonateur en gourde. Au Guatemala, il est utilisé dans de nombreuses danses, principalement dans le Rabinal Achí, également connu sous le nom de Xajooj Tun, qui signifie en espagnol "Danse du tun". Il est également utilisé dans la danse du cerf.

Le teponaztli, tinco, teponahuaztli, quiringua, tepenahuasqui, tunkul (Mexique) ou tun est un tambour à fente ancien, d'origine mésoaméricaine, utilisé dans la musique amérindienne par les Aztèques et les Mayas. Il est encore utilisé de nos jours. Le teponagua en est une variété plus grande, et le tecomapiloa en est une petite version à résonateur en gourde. Au Guatemala, il est utilisé dans de nombreuses danses, principalement dans le Rabinal Achí, également connu sous le nom de Xajooj Tun, qui signifie en espagnol "Danse du tun". Il est également utilisé dans la danse du cerf.

Le teponaztli, tinco, teponahuaztli, quiringua, tepenahuasqui, tunkul (Mexique) ou tun est un tambour à fente ancien, d'origine mésoaméricaine, utilisé dans la musique amérindienne par les Aztèques et les Mayas. Il est encore utilisé de nos jours. Le teponagua en est une variété plus grande, et le tecomapiloa en est une petite version à résonateur en gourde. Au Guatemala, il est utilisé dans de nombreuses danses, principalement dans le Rabinal Achí, également connu sous le nom de Xajooj Tun, qui signifie en espagnol "Danse du tun". Il est également utilisé dans la danse du cerf.

Le teponaztli, tinco, teponahuaztli, quiringua, tepenahuasqui, tunkul (Mexique) ou tun est un tambour à fente ancien, d'origine mésoaméricaine, utilisé dans la musique amérindienne par les Aztèques et les Mayas. Il est encore utilisé de nos jours. Le teponagua en est une variété plus grande, et le tecomapiloa en est une petite version à résonateur en gourde. Au Guatemala, il est utilisé dans de nombreuses danses, principalement dans le Rabinal Achí, également connu sous le nom de Xajooj Tun, qui signifie en espagnol "Danse du tun". Il est également utilisé dans la danse du cerf.

Le teponaztli, tinco, teponahuaztli, quiringua, tepenahuasqui, tunkul (Mexique) ou tun est un tambour à fente ancien, d'origine mésoaméricaine, utilisé dans la musique amérindienne par les Aztèques et les Mayas. Il est encore utilisé de nos jours. Le teponagua en est une variété plus grande, et le tecomapiloa en est une petite version à résonateur en gourde. Au Guatemala, il est utilisé dans de nombreuses danses, principalement dans le Rabinal Achí, également connu sous le nom de Xajooj Tun, qui signifie en espagnol "Danse du tun". Il est également utilisé dans la danse du cerf.

Les siku, taika, sanga, bordon, toyo, malta, liku, chulli, connus aussi sous le nom espagnol de zampoña, sont des flûtes polycalames andines connues depuis le XVIe siècle. C'est une flûte de pan répandue dans nombre de populations notamment l'ethnie Aimara, les Quechuas, les Chipayas et les Chiriguanos vivant au Chili, au Pérou, en Bolivie, en Argentine et au Paraguay. Mais ils sont avérés du sud du Chili et de l'Argentine au Mexique et plus rarement chez certaines tribus indiennes des USA voire du Canada, et ce depuis parfois 4200 av JC.

Le teponaztli, tinco, teponahuaztli, quiringua, tepenahuasqui, tunkul (Mexique) ou tun est un tambour à fente ancien, d'origine mésoaméricaine, utilisé dans la musique amérindienne par les Aztèques et les Mayas. Il est encore utilisé de nos jours. Le teponagua en est une variété plus grande, et le tecomapiloa en est une petite version à résonateur en gourde. Au Guatemala, il est utilisé dans de nombreuses danses, principalement dans le Rabinal Achí, également connu sous le nom de Xajooj Tun, qui signifie en espagnol "Danse du tun". Il est également utilisé dans la danse du cerf.

Le rhombe est un instrument à vent se servant du frottement de l'air ambiant pour produire un son. Sa sonorité rugissante a été comparée à celle du vent, du tonnerre, aux cris des dieux, des esprits ou des ancêtres intercesseurs entre le monde terrestre et le monde supra naturel.

Les siku, taika, sanga, bordon, toyo, malta, liku, chulli, connus aussi sous le nom espagnol de zampoña, sont des flûtes polycalames andines connues depuis le XVIe siècle. C'est une flûte de pan répandue dans nombre de populations notamment l'ethnie Aimara, les Quechuas, les Chipayas et les Chiriguanos vivant au Chili, au Pérou, en Bolivie, en Argentine et au Paraguay. Mais ils sont avérés du sud du Chili et de l'Argentine au Mexique et plus rarement chez certaines tribus indiennes des USA voire du Canada, et ce depuis parfois 4200 av JC.